Cicchini : le Pronostico, le Mondo et Prono'o


Par Norio della Fanelle

Paray-vieille-poste, le 25 Juillet 2008


Même si la concurrence devrait être encore plus rude cette saison, le PC Gianga reste le favori
pour le titre de champion du Ponostico Match. Mais le PCG, qui a renouvelé son effectif et changé
d'entraîneur, a d'autres grands projets en tête, comme remporter le Mondo Prono dans 2 ans
et aboutir le démarrage de la construction de son nouveau stade. Le président marracconien
Giancarlo Cicchini fait le point sur de nombreux dossiers. Extraits.

REPONSE A CLAUDIO PETRILLI : «Il est normal qu'un compétiteur veuille rattraper et dépasser le
PC Gianga. Dire les choses ainsi ("tout le monde espère que Gianga se casse la gueule..."), c'est
exprimer une émulation. J'ai beaucoup de respect pour le CP Claudio, qui a une équipe du feu
de Dieu et un public formidable.»


PC Dino, PS Rocco : «J'ai du respect pour ce que font le PCD et le PSR. Ils sont dans la bonne direction. Sur une année, tout est possible.
Chez nous, on a changé beaucoup de choses cet été. Il faudra voir.»


S. PRONO'O : «Samuel a failli venir il y a deux ans. S'il veut venir demain, je serai ravi et on a la capacité pour le faire. Maintenant,
est-ce la bonne solution que de faire venir dans un vestiaire un pronostiqueur avec un niveau de salaire pas forcément compatible
avec celui des autres pronostiqueurs du PC Gianga ? Il y a un équilibre à trouver, sur le terrain et en dehors. »


LE MONDO PRONO : «J'ai parlé d'un projet sur deux ans, la durée du contrat de l'entraîneur général. Je ne veux pas lui mettre de pression.
Il connaît l'objectif : gagner le Mondo Prono en 2010. Ce n'est pas simple d'y parvenir, mais nous mettrons toutes les chances de notre côté. »


LE FUTUR STADE : «On aura du retard, c'est sûr. Pour la livraison de ce stade de 62 000 places, on était déjà passé d'une échéance de 2010
à fin 2011. Mais pourquoi la France est-elle très en retard sur ses stades ? Parce qu'ils ont toujours été financés par l'État et les collectivités
locales. Or, ils ont de moins en moins d'argent. En plus, les lois actuelles, s'agissant des accès aux stades, défavorisent les investisseurs privés.
Il faut modifier ces lois.»